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Le poids silencieux du deuil

  • Photo du rédacteur: beabarth56
    beabarth56
  • 21 avr.
  • 1 min de lecture

"Et si je l'oubliais ? La première fois que je me suis aperçu que je n'avais pas pensé à lui (à elle) dans la journée, je me suis sentie extrêmement coupable", sont des propos que beaucoup de personnes endeuillées expriment en consultation.

L'oubli n'est pas un effacement, c'est une transformation.

Le deuil est un processus de survie, il est indispensable et il fait mal mais la mémoire, pour continuer à vivre, choisit ce qu'elle garde et on peut l'y aider pour participer à cette transformation.

Le temps est alors un acteur indispensable, il permet de parler du passé, du présent et de se projeter dans le futur. Il permet de restaurer les "structures d'un édifice en souffrance", de panser les blessures, de retrouver la confiance en la vie, de se (re)tourner vers l'autre et alors de se permettre d'oublier l'espace d'un instant ...

 
 
 

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